Gestion des savoirs

Dans la conduite de ses activités principales, en particulier tout au long du cycle des projets qu’il appuie, le FIDA a affaire à une multiplicité de savoirs. Il apprend par ses relations avec ses partenaires nationaux et internationaux, mais aussi par les bénéficiaires des projets eux-mêmes, les ruraux pauvres, qui participent de plus en plus à l’élaboration et l’évaluation des activités. De plus, le FIDA met l’accent sur des programmes à forte teneur en savoirs et en innovations qui visent à transformer les institutions et les politiques.

Au cours des années, tout cela a créé un besoin accru de types nouveaux de savoirs permettant de répondre à des facteurs d’une grande diversité et complexité, qui détermineront l’efficacité du FIDA en matière de développement. Un nombre sans cesse plus important de gouvernements bénéficiaires et de partenaires sur le terrain indiquent que la valeur qu’ils attachent à l’activité du FIDA dépendra de plus en plus de sa capacité à renforcer l’innovation et le partage du savoir ainsi que l’apprentissage. Télécharger la stratégie du FIDA en matière de gestion des savoirs (pdf - 341 Kb)

Au niveau de Madagascar, la cellule d’appui CAPFIDA tente de mettre en œuvre des initiatives visant à améliorer le partage des connaissances entre les différents projets mis en œuvre dans le pays et avec les institutions partenaires. La gestion des savoirs sert aussi à capitaliser les expériences et continuer à documenter les succѐs et échecs des projets clôturés, afin de tirer des leçons et ne jamais cesser d’améliorer l’impact et la durabilité des activités de développement. A plus large échelle, ces savoirs doivent être partagés avec différents acteurs du développement dans le monde entier.

Dans cette section du site vous trouverez donc des études de cas thématiques, documents de base et autres articles analysant de maniѐre approfondie de nombreux aspects clés pouvant aider à mieux appréhender les défis auxquels font face les femmes et hommes ruraux à Madagascar.

“En Afrique, lorsque meurt un vieillard, c’est toute une bibliothèque qui brûle.” Amadou Hampâté Bâ