Capitalisation et partage des savoirs
Le
medias nationaux
Pour les grands événements, le projet fait venir
dans sa zone d’intervention des journalistes issus des medias
d’envergure nationale pour les couvrir. C’est ce qu’a
fait le projet lors de l’Assemblée Générale
constitutive de la mutuelle FIVOY, l’inauguration des routes
: RIP 107-Maromby-Esira et le lancement de la filière oignon
ail dans la zone Haut bassin du Mandrare. De retour à leurs
lieux de travail respectif, ces journalistes publient des articles,
de émissions radiophoniques ou télévisées
ou des publi-reportages qui contribuent à l’amélioration
de l’image du projet
Le site web : le site web a pour but d’informer
un public plus large qu’il soit à l’intérieur
ou à l’extérieur du pays. Il dit tout sur
le projet, depuis la conception jusqu’à la clôture,
en passant par les réalisations et les documents d’archives.
C’est aussi un moyen d’immortaliser le projet et de
partager ses expériences aux autres projets FIDA. C’est
le seul moyen de communication valable à l’échelle
internationale.
Le
journal Akon’i Mandrare est plutôt
destiné à une
cible plus restreinte : le Ministère de tutelle, les services
administratifs décentralisés de l’Etat et
du MAEP, les partenaires, les élus et autorités
locales, les leaders des organisations paysannes, les centres
d’alphabétisations et les paysans sachant lire et
écrire. Ce trimestriel de huit pages en couleur et bien
illustré propose des informations (techniques ou générales)
plus détaillées et plus approfondies. Pour chaque
parution, il y a des articles d’information concernant les
activités et les réalisations du projet, des articles
de sensibilisation ou d’éducation, des témoignages
des ruraux ayant réussi dans telle activité et des
événements généraux se produisant
dans la zone du PHBM II, sans pour autant oublier les jeux. Les
articles sont rédigés entièrement en langue
malagasy par l’équipe de la cellule communication,
en collaboration avec les chefs de cellules. Ainsi, 4 numéros
dudit journal est à réaliser chaque année.
Ce support sert aussi d’outil pédagogique pour les
alphabétiseurs, les apprenants et les sortants, afin d’éviter
l’éventuel retour à l’analphabétisme.
En général le journal est tiré à l’imprimerie
par centaine d’exemplaires. Si la radio s’est avérée
efficace pour la communication locale, ce journal journal trimestriel
ne l’est pas moins à l’échelle régionale
et nationale.
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