Generalites
Le haut bassin du mandrare à travers son vaste terrain
de pâturage naturel et ses conditions agrocimatiques offre
un grand potentiel pour l’élevage en particulier
les ruminants. Ses populations sont en réalité
des agro pasteurs à dominance agricole pour certaines
et pastorale pour d’autres. L’élevage est
une pratique ancestrale, qui se transmet de génération
en génération. Chaque type d’élevage
a sa place dans la société. Il porte principalement
sur les bovins, les petits ruminants (ovins et caprins) et les
volailles. Les autres spéculations restent secondaires
et limitées géographiquement que culturellement
(porcins, etc.).
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Couverture
sanitaire des animaux
Santé animale. Lors de sa première phase, le
PHBM a pu mettre en place 23 couloirs de vaccination et parcs
de contention (CV) en matériel durable, dans les 4 communes
de sa zone d'action. Ceux-ci viennent compléter ou substituer
une partie des 78 couloirs traditionnels existants qui devaient
être reconstruits chaque année avant chaque campagne
de vaccination.
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Promotion
de filieres caprines/ovines
La diversification des cultures, la promotion des activités
génératrices de revenu, l’amélioration
nutritionnelle et le ciblage des groupes vulnérables
en particulier les femmes et les sans terre sont parmi les raisons
pour lesquelles le projet a développé la culture
maraîchère dans le haut bassin du mandrare. ...
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Elevage
bovin
1. L’élevage des zébus, très adapté
aux difficiles conditions de la zone, est d'abord une marque
de prestige ainsi que la principale forme d’épargne
et d’investissement, même si les vols de bœufs
sont toujours très répandus. La conduite de l’élevage
est pour la majorité sédentaire, par peur des
vols. L’entretien des parcours est assuré de manière
traditionnelle par les feux de brousse qui, trop fréquents,
les prive d’un bon couvert et d'espèces apétables,
mais susceptibles pour certaine de se lignifier en fin de saison.
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Generalites
Le haut bassin du mandrare est caractérisé par
son dimorphisme agro-écologique.
Ses parties orientale et septentrionale sont dominées
par un relief résiduel occupé en grande partie
par une végétation herbacée essentiellement
à Hétéropogon contortus (POACEAE) localement
dénommé « danga ». Parfois, des lambeaux
de forêts naturelles localisées sont observées
le long des pentes de montagnes.
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Reboisement
communautaire et villageois
Les rares peuplements forestiers artificiels dans le haut
bassin du mandrare remontent de la période de la première
République (vers 1960). D’une étendue insignifiante,
ils sont surexploités et n’ont fait l’objet
d’aucun plan d’aménagement. ...
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