L’affiche et affichette de toutes sortes : ce support convient au grand public, lettré ou non. C’est un moyen efficace pour la sensibilisation de masse. Ses atouts résident sur son apparence attirante grâce à l’utilisation équilibrée du texte et de l’illustration. En effet elle contient un minimum de texte pour un maximum de photos ou d’images, ce qui facilite la lecture et la compréhension des messages véhiculés. Par contre, elle ne peut pas contenir beaucoup de détails. La conception et la réalisation d’une affiche requièrent beaucoup de temps du fait qu’elles nécessitent l’étroite collaboration de la cellule ayant exprimé le besoin. Mais cela vaut la peine, étant donné que la plupart des affiches sont réutilisables. Voici les étapes à suivre pour la réalisation d’une affiche : à partir de la demande exprimée par la cellule technique, l’équipe de la cellule communication et de la cellule concernée conçoivent ensemble l’affiche. Puis le dessinateur d’art propose une ébauche. Au cas où celle-ci obtient l’aval de la cellule concernée, on procède au test pour vérifier si les messages à transmettre est compris par le prospecté (la cible) ou non, les améliorations se font en fonction du résultat du test et le dessinateur réalise le produit final prêt à être tiré. Il se peut qu’une affiche déjà utilisée soit modifiée ou améliorée. Les affiches sont éditées localement à l’aide d’une imprimante couleur car le nombre de tirage est très limité.

La fiche technique : ce qui la diffère des affiches c’est qu’elle peut contenir des informations plus détaillés sur le thème ou la technique vulgarisée. Elle est en noir et blanc et éditée par milliers d’exemplaires au duplicopieur. Elle aussi, contient beaucoup d’images ou d’illustration pour peu de texte, ce qui la rend accessible à tous. Ce type de support est idéal pour la vulgarisation des nouvelles technologies ou techniques destinées au développement rural. Toutes les fiches techniques produites ont été réutilisées. La démarche à suivre pour la réalisation d’une fiche technique est la même que celle de affiche

Le dépliant : destiné à une cible bien déterminée, ce sont en général des gens lettrés. Rédigé en français ou en malagasy, il fournit des informations sur le projet ainsi que ses activités et réalisations (nouvelles orientations, lancement filière, activités promotionnelles etc.). En général le dépliant est édité à l’imprimerie par centaines d’exemplaires et distribué lors des formations, des séances d’informations ou des manifestations telle la foire.

Le banderole : on ne réalise des banderoles que pour des événements temporaires du type concours agricole, journées commémoratives ou atelier divers. Bien que sa réalisation demande beaucoup d’efforts et de concentration, ce type de support s’avère très attrayant grâce à sa taille imposante et à son emplacement.

Le Manuel : c’est un document de plusieurs pages, bien illustré et bien rédigé. C’est le support le plus adéquat pour vulgariser une activité regroupant différents thèmes, du genre, gestion et entretien des réseaux hydroagricoles, gestion et entretien des routes et pistes. La réalisation d’un manuel nécessite beaucoup de temps et l’édition coûte chère. La distribution se limite aux paysans leaders c'est-à-dire les dirigeants des OP et les spécialistes villageois concernés.

Le dépliant : destiné à une cible bien déterminée, ce sont les gens lettrés. Rédigé en français ou en malagasy, il fournit des informations sur le projet ainsi que ses activités et réalisations (nouvelles orientations, lancement filière, activités promotionnelles etc.). En général le dépliant est édité par centaines d’exemplaires et distribué lors des formations, des séances d’informations ou des manifestations économiques tel la foire.

Le banderole : on ne réalise des banderoles que pour des événements temporaires du type concours agricole, journées commémoratives ou atelier divers. Ce type de support s’avère très attrayant grâce à sa taille imposante et à son emplacement.

Le Manuel : c’est un document bien illustré qui sert à vulgariser un thème technique bien défini, du genre, gestion et entretien des réseaux hydroagricoles, gestion et entretien des routes et pistes. La réalisation d’un manuel nécessite beaucoup de temps et l’édition coûte chère. La distribution se limite aux dirigeants des OP et aux spécialistes villageois concernés.

L’unité mobile de vidéo : aucun autre support ne peut transmettre aussi efficacement des messages aux ruraux comme un document audiovisuel. Ses avantages : il touche à la fois les deux organes de sens de l’homme à savoir l’œil et l’oreille. Ce qui facilite la réception et surtout la rétention des messages. L’opérationnalisation de l’unité vidéo mobile a été effective en 2006 grâce à l’acquisition des nouveaux équipements (générateur, écran de projection et matériel de sonorisation) et à la remise à niveau (upgrade) de l’ordinateur de la cellule. Le film réalisé est commenté en malagasy et si possible en dialecte local. Les tâches de la cellule consiste à produire un document vidéo et ensuite à le projeter suivant un programme préétabli par la cellule concernée. Il est à noter que le thème à réaliser ne se limite pas seulement aux activités du projet mais aussi à d’autres sujets susceptibles d’apporter des améliorations aux conditions de vie des ruraux, cible directe du projet ou non. Il se peut aussi que l’on projette des films ou documents émanant des projets ou ONG partenaires du PHBM II.